La Société financière internationale, un membre du groupe de la Banque mondiale évaluera bientôt les avantages économiques d’un déploiement de capacités de stockage au Burkina Faso. Ces études prendront également en compte l’impact de ces capacités de stockage sur la construction de nouvelles centrales solaires dans le pays.
Un accord a déjà été passé avec le ministère burkinabé de l’Énergie pour ces travaux.
La SFI procédera également à une étude des cadres juridique et réglementaire du pays afin de voir leur adéquation avec les modèles de développement et de financement des infrastructures de stockages énergétiques par des entités publiques ou privées. Elle formulera dans ce sens des recommandations pour les divers aspects de la mise en œuvre d’un partenariat public privé.
« Cette évaluation est une étape importante pour réussir à intégrer une plus grande quantité d’énergie solaire dans le mix énergétique du pays, comme prévu par le gouvernement », a affirmé Ronke-Amoni Ogunsulire, le représentant de la SFI pour le Burkina Faso, le Bénin, le Ghana, le Niger et le Togo.
Gwladys Johnson Akinocho