La deuxième session ordinaire de l’assemblée nationale pour l’année en cours s’est ouverte ce 25 septembre 2019 à Niamey. Au cours de son allocution de circonstance, Ousseini Tinni, le président de l’assemblée nationale, a souhaité que le volume et la qualité de la dette publique du Niger soient davantage améliorés, mais « dans le respect des critères fixés par l’UEMOA ».
En fait, ces ressources financières permettent au Niger de poursuivre les grands chantiers déjà entamés. « Il faut, en effet, que les grands travaux se poursuivent pour doter notre pays d’infrastructures susceptibles d’attirer les investisseurs et surtout d’occuper notre jeunesse », a-t-il soutenu.
D’après la Banque mondiale, le Niger est l’un des pays dans le monde qui présente un endettement à risque modéré. L’encours de la dette du Niger en 2017 est, selon l’institution de Bretton woods, de 1985,9 milliards de FCFA représentant 44% du PIB.
Rappelons que cette session parlementaire est consacrée à l’examen de la loi de finances 2020.
SG