Partout en Afrique où elle n’a pas été abolie (pour un exemple d’abolition, voir Biya a promulgué la loi n°2008/001 de révision de la Constitution),
la clause constitutionnelle de
limitation à deux mandats présidentiels est moribonde. La succession
de textes constitutionnels équivoques, interprétables au gré des
intérêts du Pouvoir, fait renaître le
« continuisme », aux dépens de l’Etat de droit et de démocratie
pluraliste (cf. Le Conseil
Constitutionnel, agent du "continuisme").
C’est dans ce contexte régional que s’inscrit la réflexion prospective de Stef
Vandeginste, chargé de cours à l’Institut de politique et
de gestion du développement (IOB) et chercheur postdoctoral FWO à la
Faculté de droit de l’Université d’Anvers
Selon la formule académique consacrée,LA CONSTITUTION EN
AFRIQUEn’entend donner aucune
approbation ni improbation aux opinions émises par l’auteur.
Stéphane BOLLE
Maître de conférences HDR en droit public
Partout en Afrique où elle n’a pas été abolie (pour un exemple d’abolition, voir Biya a promulgué la loi n°2008/001 de révision de la Constitution), la clause constitutionnelle de limitation à deux mandats présidentiels est moribonde. La succession de textes constitutionnels équivoques, interprétables au gré des intérêts du Pouvoir, fait renaître le « continuisme », aux dépens de l’Etat de droit et de démocratie pluraliste (cf. Le Conseil Constitutionnel, agent du "continuisme").
C’est dans ce contexte régional que s’inscrit la réflexion prospective de Stef
Vandeginste, chargé de cours à l’Institut de politique et
de gestion du développement (IOB) et chercheur postdoctoral FWO à la
Faculté de droit de l’Université d’Anvers
Selon la formule académique consacrée,LA CONSTITUTION EN
AFRIQUEn’entend donner aucune
approbation ni improbation aux opinions émises par l’auteur.
Stéphane BOLLE
Maître de conférences HDR en droit public