L’Algérie a informé les officiels maliens du texte d’une
initiative permettant l’arrêt de l’effusion du sang dans le Nord
malien. Cette initiative comporte la création d’une zone protégée et une
autre région désarmée. Elle stipule, également, la création d’un fonds
international pour la reconstruction et le développement du Sahara des
Azawad, partiellement financé par l’Algérie.
Par M.A/S.A
Par M.A/S.A
Une source sécuritaire de haut niveau a
révélé que l’Armée algérienne ainsi que les services de sécurité, ont
rappelé le mouvement de Rébellion dans le territoire de l’Azawad, dans
le Nord Malien, qu’il est responsable du maintien de l’ordre et de la
sécurité dans les régions situées sous son pouvoir et maitrise, afin de barer la route aux partisans de l’organisation Al-Qaida au Maghreb
Islamique.
Les autorités algériennes ont procédé à cette mise en garde suite à des renseignements faisant état de l’existence d’une activité intense des membres d’Al-Qaida dans cette région. Ces derniers font dans la collecte des armes et leur trafic du Nord du Niger.
Par ailleurs, Al-Qaida au Maghreb a pu investir cette région après le retrait des forces de lutte antiterroristes, appartenant à l’Armée Nigériane, de plus de 20 sites militaires où elle assurait le contrôle de la situation et parait la route aux trafiquants, notamment, dans les hauteurs d’Adghagh, Ifoghas et oued Zourak.
Dans le même sillage, Alger a mis en garde l’Armée Malienne à travers le commandement des Armées du Sahel, à Tamanrasset, de la gravité de la situation sécuritaire et de la nécessité de la reprise du contrôle, notamment, sur les frontières algéro-maliennes, une fois que la plupart des postes contrôle ont été évacués suite au déclenchement des événements dans le Nord Malien.
L’Algérie a, informé, l’Etat Major des rebelles Azawad qu’il est dorénavant responsable de la sauvegarde de la sécurité et de la lutte contre les partisans d’Al-Qaida dans les régions qui sont sous sont contrôle. Dans ce sillage, des notables des tribus Touaregs du Mali « Atouadj » ont informé les chefs des rebelles du mouvement de libération de l’Azawad dans le Nord du Mali, de l’initiative algérienne visant à mettre un terme à la violence dans le nord du Mali dans le cadre d’un plan qui attribue aux combattants du mouvement national de libération de l’Azawad des zones de repli sécurisées à condition de parvenir à un cessez-le-feu.
El Akbar
Les autorités algériennes ont procédé à cette mise en garde suite à des renseignements faisant état de l’existence d’une activité intense des membres d’Al-Qaida dans cette région. Ces derniers font dans la collecte des armes et leur trafic du Nord du Niger.
Par ailleurs, Al-Qaida au Maghreb a pu investir cette région après le retrait des forces de lutte antiterroristes, appartenant à l’Armée Nigériane, de plus de 20 sites militaires où elle assurait le contrôle de la situation et parait la route aux trafiquants, notamment, dans les hauteurs d’Adghagh, Ifoghas et oued Zourak.
Dans le même sillage, Alger a mis en garde l’Armée Malienne à travers le commandement des Armées du Sahel, à Tamanrasset, de la gravité de la situation sécuritaire et de la nécessité de la reprise du contrôle, notamment, sur les frontières algéro-maliennes, une fois que la plupart des postes contrôle ont été évacués suite au déclenchement des événements dans le Nord Malien.
L’Algérie a, informé, l’Etat Major des rebelles Azawad qu’il est dorénavant responsable de la sauvegarde de la sécurité et de la lutte contre les partisans d’Al-Qaida dans les régions qui sont sous sont contrôle. Dans ce sillage, des notables des tribus Touaregs du Mali « Atouadj » ont informé les chefs des rebelles du mouvement de libération de l’Azawad dans le Nord du Mali, de l’initiative algérienne visant à mettre un terme à la violence dans le nord du Mali dans le cadre d’un plan qui attribue aux combattants du mouvement national de libération de l’Azawad des zones de repli sécurisées à condition de parvenir à un cessez-le-feu.
El Akbar